• Un petit déj’ chez Claus Paris (Lien externe) , à Saint-Germain-des-Prés (6e). Première maison parisienne dédiée au petit-déjeuner. Aujourd’hui, c’est une institution pour les influenceurs. Car ici, tout est 100% maison, sain et gourmand. L’ambiance cocon cosy est très lumineuse et le service, résolument luxe ! Best-seller à shooter : les röstis au saumon mariné et crème fraîche à l’aneth.
• Un déjeuner au Kong (Lien externe) (1er), le restaurant-bar-club devenu célèbre grâce à la série Sex and the City. Ici, on vient apprécier le raffinement de la cuisine franco-japonaise mais pas que. On vient surtout pour profiter de l’immense verrière, designée par le talentueux Philippe Starck. Derrière les vitres arrondies, on aperçoit le Pont Neuf, la Samaritaine et la Seine.
• Un dîner au Klay Saint Sauveur (Lien externe) (2e), un jardin d’hiver gastronomique à Paris. Lové au rez-de-chaussée du Klay, salle de sport ultra « select » parisienne, la cachette branchée fait partie des adresses d’initiés. On aime (beaucoup) le patio aux allures d’oasis végétal signé Charlotte Bilten et on valide encore plus la carte « healthy » et majoritairement gluten free, que le chef renouvelle en permanence.

… la Fondation Louis Vuitton (Lien externe) (16e). Le musée d’art contemporain et moderne n’existe que depuis 2014 et explose déjà tous les compteurs sur Instagram avec 308 000 abonnés. La structure du bâtiment casse les codes de l’architecture (merci à la créativité de Franck Gehry !). Tel un immense vaisseau transparent atterri au bois de Boulogne, la Fondation Louis Vuitton compte pas moins 3824 panneaux de verre. Plus qu’un audacieux édifice à l’esthétique insolite, le musée ne manque pas non plus d’exciter la toile Instagram à chaque nouvelle exposition. En ce moment, la Fondation voue une grande rétrospective au travail de Charlotte Perriand (Lien externe) , pionnière de la modernité au cœur du monde du design au 20e siècle (jusqu’au 24 février 2020).

Amoureux de street-art, on s’arrête au terrain Pigalle (Lien externe) (22 rue Duperré, 9e), le terrain de basket le plus coloré de France. D’humeur plus bucolique, on file à Montmartre, poser devant la Maison Rose (Lien externe) (2 rue de l’Abreuvoir 18e), vraie maison de poupée. Tant qu’on y est, on complète sa palette rue Crémieux (Lien externe) (12e), là où la polychromie habille chacun des immeubles de la ruelle. De l’autre côté de la ville, on fait un plouf à la Piscine Molitor (Lien externe) (16e), chef d’œuvre Art Déco, tout droit sortie d’un film de Wes Anderson. Côté architecture, on saute à cloche pied sur les colonnes de Buren au Palais Royal (Lien externe) (2 rue de Montpensier, 1er), on se prend pour DiCaprio sur le sublime Pont Bir-Hakeim (Lien externe) (15e) et on finit en apothéose sur les toits argentés de la Philharmonie de Paris (Lien externe) (221, Avenue Jean Jaurès 19e) au coucher du soleil.

• Le bar à cocktail : ambiance Rio de Janeiro à l’Uma Nota Paris (Lien externe) (2e). C’est LE repère des amoureux de caïpirinhas ! Ici, on se croirait presque dans un club de salsa mais avec des cocktails d'influence nippo-brésiliennes, en plus. Un mix entre savoir-faire japonais et saveurs de Sao Paulo. Mention spéciale pour le grand escalier aux marches multicolores, sa fresque murale et le mobilier graphique.
• Le bar à vin : direction la Cave de Belleville (Lien externe) (19e), le comptoir chic qui fait déjà saliver derrière ses hautes vitrines lumineuses. À l’intérieur, une impressionnante œnothèque, un très beau comptoir tout de bois vêtu et des jambons suspendus en veux-tu en voilà. Si le cadre donne faim, attendez de voir le reste. Le vin et l’épicerie fine sont à tomber.
• Le rooftop : on monte au 7ème ciel sur la terrasse panoramique de l’hôtel Péninsula (Lien externe) (16e). Perché au 6ème étage de l’immeuble, le rooftop de L’Oiseau Blanc offre une vue imprenable sur les plus beaux monuments de Paris (Montmartre et Tour Eiffel, entre autres).